Racines & Réussites – Foire Afropreneuriale : Catherine Fournier | MHN2025
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- 14 févr.
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Longueuil, Québec — Dans une atmosphère empreinte de reconnaissance et d’engagement, la mairesse de Longueuil, Catherine Fournier, a pris la parole lors d’une célébration marquante du Mois de l’Histoire des Noirs, soulignant l’importance d’une programmation inclusive, diversifiée et porteuse de sens pour toute la communauté.
« Merci, merci du fond du cœur », a lancé Mme Fournier en ouverture de son discours. Elle a tenu à adresser des remerciements particuliers aux équipes mobilisées, notamment Alain C., représentant la direction du développement social et des communautés, ainsi qu’au comité de travail et aux bénévoles qui, année après année, assurent le déploiement de cet événement essentiel.
« Cela fait déjà trois ans que nous organisons le Mois de l’Histoire des Noirs à Longueuil, et on voit que ça prend de plus en plus d’ampleur », a déclaré la mairesse. Elle s’est dite touchée par l’enthousiasme croissant au sein de la communauté, saluant la richesse des contributions des communautés noires à la vie locale.
Accompagnée pour l’occasion de Sylvain, conseiller municipal et président de l’arrondissement du Vieux-Longueuil, également responsable du développement économique au comité exécutif, Catherine Fournier a insisté sur l’importance d’inclure un volet économique dans les festivités.
« Je trouve ça très pertinent qu’on puisse avoir un volet économique au Mois de l’Histoire des Noirs, parce que la culture dépasse les frontières des arts. Elle touche toutes sortes de domaines, y compris l’économie », a-t-elle affirmé. Elle a d’ailleurs salué la participation du Pôle de l’économie sociale de l’agglomération, qu’elle considère comme un acteur essentiel du tissu local.
Remerciant également ses collègues Roland Bababika et Reine Bogolo, Mme Fournier a souligné la volonté de la Ville de Longueuil de proposer une programmation « à la hauteur de la richesse et des contributions » des communautés noires.
« Merci d’y prendre part, merci d’animer ces journées tout au long du mois de février », a-t-elle ajouté. Pour elle, ces célébrations ne sont que le début d’un dialogue plus large et profond. « Ce type d’activités promeut le dialogue, mais c’est vraiment l’ensemble de la communauté qui s’enrichit collectivement », a-t-elle conclu, dans un message porteur d’unité et d’espoir.




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